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BTS : Commerce International

Le BTS Commerce International a pour objectif de former les cadres intermédiaires des services export des entreprises. Le titulaire du BTS CI devra maîtriser tous les aspects de la négociation commerciale, avoir une bonne connaissance des marchés étrangers mais aussi des connaissances économiques et juridiques.

PROFIL REQUIS
Après le Bac L, ES, S ou STMG et bacs professionnels, pour tous ceux qui ont un bon niveau dans deux langues vivantes (dont l’anglais).

FORMATION
Outre les enseignements d’économie, de droit, de culture générale et d’outils de gestion et mercatique, la formation comprend deux langues vivantes, un enseignement du commerce international et un cours de géographie économique ainsi que 10 à 12 semaines de stage en entreprise dont au moins quatre à l’étranger.

POURSUITE DES ÉTUDES
L’université : dans le cadre du LMD, licence (L3 en économie-gestion ou sciences de gestion) ou licence professionnelle ; une école de commerce spécialisée ; une école supérieure de commerce et de gestion par
le biais des admissions parallèles et parfois une école d’ingénieur proposant des formations de technico-commercial. Mais l’objectif du BTS reste l’insertion professionnelle.

DÉBOUCHÉS
Assistant(e) commercial(e) ; commercial(e) export pour une société de négoce, une entreprise industrielle ou commerciale, voire un organisme de conseil et d’appui (Chambre de Commerce et d’Industrie, collectivités territoriales etc.).
Sources ONISEP

La 1ère Bac Professionnel ARCU (Accueil – Relation Clients et Usagers) du lycée Théas s’est associée, pour la première fois, au club Kiwanis pour l’accompagner dans l’accueil et l’information des visiteurs, au Salon du chocolat, les  6, 7 et 8 novembre, à la salle Eurythmie à Montauban.

L’objectif humanitaire de ce salon, qui vise à aider les enfants en difficulté dans le monde, nous a séduit car il rejoint les valeurs de notre établissement.
Nos activités ont été l’accueil des visiteurs, la distribution de brochures, l’administration d’un questionnaire de satisfaction élaboré par nos soins et l’aide aux activités de tombola et du loto.
Cette expérience a été enrichissante et appréciée de nous tous. Elle nous a fait vivre une véritable action professionnelle, avec des rencontres humaines très intéressantes.
Prochainement, nous retrouverons le club Kiwanis pour dresser un bilan de cette opération.

Pendant le festival de Lettres d’Automne, une classe de sixième a eu la chance de rencontrer Nathalie Novi, auteur et illustratrice du livre La Petite Fille et l’Oiseau, étudié sous différents angles en arts plastiques, en français ainsi qu’en musique, puisque le livre racontait l’enfance romancée de Maria Callas.

Le 27 novembre, les élèves se sont rendus à la médiathèque pour poser toutes les questions qu’ils souhaiter à l’illustratrice qui leur a offert un croquis et un dessin aux pastels.

Voici quelques extraits de ce que nos élèves ont apprécié de cette rencontre.

Nathalie Novi nous a expliqué ce qu’était une illustration : la mise en scène de l’histoire, une mise en lumière qui aide à comprendre ce qu’on lit.
Arthur.

Pendant qu’on lui posait des questions, elle nous a fait un croquis d’un crocodile qui croque les touristes (sens figuré : il les dessine).
Alexia.

Nathalie Novi a fait le dessin d’une petit fille qui lit, on voyait ce que pouvait imaginer la petite fille plongée dans sa lecture. Des oiseaux sortaient des pages du livre.
Mayeul.

Nathalie Novi m’a inspiré qu’il ne fallait jamais baisser les bras, c’est-à-dire que si on a une passion, ne jamais l’abandonner. Et puis pourquoi lâcher comme ça ? Toutes les grandes stars comme Madonna ou Ronaldo, est-ce qu’ils ont arrêté sur un coup de tête ? Non ! Nathalie Novi m’a donc prouvé ça, si on a des rêves, il faut les réaliser. Car cette illustratrice avait des rêves, et un en particulier : celui de dessiner des personnes, des portraits. Même si son professeur d’arts plastiques lui disait qu’elle prenait des risques en dessinant des personnages, c’était la seule de sa classe à continuer, et elle a fait de sa passion son métier.
Valentin B.

J’ai passé un très agréable moment à la MéMo : pouvoir découvrir le monde imaginaire de cette auteure, partager un peu de son temps, échanger avec elle… Tous ces moments m’ont apporté beaucoup de bonheur. Moi qui ne suis pas un grand lecteur, cette rencontre m’a donné envie de découvrir les livres qu’a écrits ou illustrés Nathalie Novi. Ce sont des rencontres comme celles-là (riches en émotions et en sensibilité) qui permettent parfois de déclencher des vocations.
Léopold.

  • Lettres d'automne

Dans le cadre des Lettres d’Automne, le jeudi 19 novembre, nous avons accueilli dans nos murs (état d’urgence oblige) la lecture musicale “Monsieur Satie, l’homme qui avait un petit piano dans la tête”.  Emilie Véronèse interprétait les compositions d’Erik Satie tandis que Carl Norac nous lisait les textes dont il était l’auteur : une biographie romancée du compositeur surréaliste.
Cette présentation s’est transformée en une triple rencontre : la musicienne et l’écrivain nous ont  expliqué leur formation, tout en nous racontant la vie si étrange de Satie. Ils nous ont délivré à tous un message d’espoir : adulte, chacun est devenu ce qu’il rêvait de devenir lorsqu’il était enfant ; il faut croire en ses rêves et se donner les moyens de les réaliser.

Voici, en vrac, quelques appréciations de nos jeunes auditeurs et élèves.

La pianiste jouait très bien, on sentait comme si elle était dans la musique…
Maïann B.

J’ai bien aimé la mélodie du piano de la plume qui s’était posée sur le clavier, mais je trouvais que la musique en forme de poire était fort étrange..
Laura E. G.

Monsieur Satie était quelqu’un d’étrange qui n’aimait pas faire comme les autres, c’était également un très bon pianiste. Personne ne lui écrivait, alors il s’envoyait des lettres. Il était pauvre et imaginait la pauvreté sous la forme d’une petite fille aux yeux verts.
Milène A.

La pianiste était exceptionnelle quand elle accompagnait l’histoire de monsieur Satie, qui était un personnage extraordinaire qui félicitait les bébés, parlait aux objets et promenait son piano.
Théoxane V.

Carl Norac nous a parlé de son enfance en nous disant qu’il avait un papa écrivain et qu’avant d’aller au lit, il voulait une histoire. Son papa, qui n’avait jamais le temps, lui disait : “C’est l’histoire d’un toutou, un point c’est tout. Maintenant, au lit.” […] Il raconte avec des mots simples et il a beaucoup d’humour.
Théo M.

La fille de l’écrivain avait choisi comme doudou un livre, et pas n’importe lequel : un livre de Nietzsche. Plus tard, un journaliste venu interviewer Carl Norac voit sa fille et s’étonne : “ – Votre fille lit déjà Nietzsche ?  – Oui, elle va vous lire quelques lignes ”. Et sa petite fille, âgée de quatre ans, commence : “Nietzsche va à la plage, Nietzsche va se baigner, Nietzsche va bronzer… ”
Andréa B.

Je garde plein de souvenirs de cette rencontre et j’espère en faire encore longtemps.
Juliette L.

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